Ce samedi 6 juillet 2024, Hélène et René embarquaient en ma compagnie pour une visite de traboules, miraboules et autres trésors du Vieux-Lyon. Un ciel menaçant faisait craindre de puissants orages susceptibles de gâcher le plaisir. Il n’en a rien été. Ils ont pu (3 heures durant !) découvrir (et parfois redécouvrir) ce site emblématique de la cité entre Rhône et Saône où furent bâties vraisemblablement il y a cinq siècles environ, à l’époque de la Renaissance, les premières traboules reliant d’Est en Ouest et inversement le bas de la colline de Fourvière aux bords de la rivière située non loin.
Départ très matinal (pour une fin de semaine) depuis la toujours tranquille et intimiste gare Saint-Paul. Arrivée programmée « au Gourguillon » (la montée du Gourguillon, située elle aussi dans le Vieux-Lyon et plus précisément dans le quartier Saint-Georges) mais finalement déplacée dans une autre montée, celle dite « du Chemin neuf », à mi pente du sommet de Fourvière, à la suite d’une rencontre impromptue et heureuse.
3 heures de déambulation 100% plaisir dans l’univers minéral des intérieurs d’immeubles du Vieux-Lyon, entre pénombre et lumière. L’occasion pour ces visiteurs de nombreuses photos et de quelques émerveillements. « Une visite magnifique ! » commentent Hélène et René. Merci !
